person holding a green plant

QUI RÉCOLTE AVEC ABONDANCE A D’ABORD BIEN CULTIVÉ !

La pandémie qui a bouleversé votre quotidien vous a peut-être fait faire des prises de conscience ? Ce moment, chez vous, dans votre intérieur, vous a-t-il permis d’explorer votre jardin intérieur ? Qu’a-t-il mis en lumière ? Comment est ce jardin ? Peut-être avez-vous réalisé que votre rythme de vie surexploite vos ressources ? Qu’à force d’appliquer un système de production intensive en maximisant la production, vous fragilisiez votre environnement. L’exploitation de vos ressources naturelles dépasse de loin votre capacité de régénération ? Avez-vous profité de cette période pour être plus à l’écoute des fondements de votre bien-être ? Si oui, il est alors possible qu’une nouvelle philosophie d’épanouissement ait germé dans votre jardin intérieur.

En comprenant que l’accomplissement de soi peut passer pas des choses plus simples, vous vous êtes décidé pour une vie qui a du sens pour vous. Comme en permaculture, vous désirez vous tourner vers un écosystème harmonieux, naturellement régénéré et respectueux de votre nature et de celles des autres ?

Seulement voilà, en observant un terrain en friche, vous pouvez vite être démoralisé face à l’ampleur de la tâche et vous tourner vers une stratégie de procrastination. Eh oui, souvent nous voulons du plaisir maintenant et nous nous réjouissons d’une satisfaction éphémère au détriment de quelque chose de plus important sur le long terme. Nous choisissons la gratification immédiate plutôt que l’avancée vers le futur. Et oui, il est plus facile de se poser devant la télévision avec un pot de glace industrielle que de choisir la formation qui va faire éclore notre projet. Nous devenons alors très forts pour trouver des excuses, émettre des hypothèses pour nous rassurer. « La conjoncture actuelle n’est pas la meilleure pour dépenser de l’argent », « je vais être responsable d’un gros contrat, je n’aurai pas l’énergie pour. ».

« Et puis en fin de compte, les opportunités se sont toujours offertes à vous, au bon moment, ne devez-vous pas faire confiance au destin ? »

Laisser faire la nature ?

Croire au destin et aussi à la fameuse loi d’attraction ne serait-ce pas une autre excuse pour le procrastinateur ? Une manière de se voiler la face et d’attendre que les choses se passent ? 

La loi d’attraction, c’est quoi d’ailleurs ? C’est une croyance basée sur le principe que les humains sont constitués d’énergie et de vibrations ainsi que de leurs pensées. Par conséquent, nous serions capables d’attirer à nous tout ce dont l’on a envie en focalisant notre attention dessus, que ce soit des choses positives ou négatives. Il est donc possible pour une personne d’avoir une vie meilleure et d’améliorer sa santé, sa richesse et ses relations personnelles simplement en utilisant l’imagination et la visualisation afin de réaliser ses désirs.

Que nous croyions ou non en ce concept, nous avons tous fait certaines expériences comme penser à quelqu’un qui nous envoie un message au même moment, parler d’une personne pas vue depuis longtemps et recevoir de ses nouvelles, rêver d’un voyage et tomber sur une promotion ou tout simplement voir son vœu se réaliser.

Génial alors, il suffit donc de s’assoir devant son champ et d’attendre que tout change d’un coup de baguette magique ? Que Charles Ingalls débarque pour sauver la récolte ? Et puis bon si ça ne fonctionne pas, c’est que je ne suis pas faite pour ça ? Et qu’il y a mieux pour moi ailleurs ?

Et oui souvent en croyant sincèrement appliquer correctement la loi d’attraction beaucoup de personnes s’empêchent de réussir. Si celle-ci est simple, elle n’ent est pas moins subtile.

Au contraire, la loi d’attraction demande une participation active. Ce n’est pas la « pensée positive » en tant que telle qui sème les graines de vos projets. Il est nécessaire de penser positivement pour accéder à cette dimension. Être dans une énergie positive, c’est faire briller le soleil pour éclairer votre chemin et développer vos cultures.

Nous sommes faits d’énergie et de vibrations comme tout ce qui constitue notre monde. Notre univers regorge d’énergies vibratoires dont quelques-unes aident à entretenir la vie, tel l’eau, la terre, les arbres, les plantes. L’énergie est partout autour de nous et en nous. Elle nous influence. La physique nous enseigne que la matière est énergie et que l’énergie est une vibration. L’humain, l’animal, le végétal et le minéral vont produire des vibrations énergétiques. La métaphysique, elle, nous apprend que la conscience est énergie et donc vibration. Toutes nos cellules consomment, produisent et sont influencées par l’énergie.

Nous sommes des émetteurs et des récepteurs d’ondes vibratoires. Étant énergiquement des aimants, nous attirons à nous les événements que nous vivons. Nous recevons ce que nous émettons comme signaux. Lorsque vous allumez la radio est que vous réglez votre récepteur sur la fréquence FM 91.6 de la 1ère, vous ne vous attendez pas à entendre la musique émise sur la fréquence FM 105 de Nostalgie. Vous savez que vous devez accorder votre poste sur la fréquence que vous voulez entendre. De la même manière, tout ce à quoi vous accordez votre attention émet une vibration et équivaut à une requête. Par conséquent, lorsque vous vivez une chose qui vous amène à émettre une vibration correspondant à votre désir, vous devez vous maintenir constamment en harmonie avec cette fréquence pour pouvoir en récolter les résultats. Si votre attention au contraire se porte essentiellement sur ce que vous n’avez PAS, alors la loi d’attraction vous apportera le résultat correspond à cette vibration de manque.

Nous ne sommes pas forcément conscients du signal envoyé et cela provoque souvent des confusions et des incompréhensions. La pensée positive ou créatrice demande une écoute de soi, des freins que l’on porte mais aussi de nos véritables inspirations lorsque nous accomplissons une action ou démarche. Nous attirons à nous ce que nous croyons avec le plus de conviction, ce que nous souhaitons le plus profondément, et imaginons avec le plus de force. Lorsque nous sommes négatifs, anxieux et sous l’emprise de la peur, nous avons tendance à attirer les expériences, situations ou personnes que nous cherchons justement à éviter. A contrario, en étant fondamentalement positifs, enclins au plaisir et au bonheur, nous attirons les gens et situations en résonance avec notre énergie positive et créons les événements conformes. 

Alors comment pouvez-vous savoir ce que vous attirez ? C’est en prenant conscience de vos émotions et en les observant que vous pourrez savoir si vous êtes connecté à votre désir ou alors à son manque. Concrètement, lorsque vous pensez à votre objectif, si vous vous sentez bien, heureux et confiant c’est que vous êtes dans une énergie positive. A contrario, si votre attention est ciblée sur l’absence, vous ressentirez de la tristesse, de la peur, du doute voire de la colère. Vous saurez alors que vous n’êtes pas aligné et en accord avec vous-même.

La pensée créative est donc un cheminement vers le mieux-être. Vous savez déjà ce que vous voulez, mais vos craintes personnelles vous empêchent d’y accéder. Si votre champ est envahi par des stratégies inadaptées et des croyances limitantes, vous aurez beau demander à l’univers de faire germer vos projets, ils n’auront pas la place suffisante. Une plante pousse naturellement au soleil. Vous avez seulement besoin de lui laisser la luminosité nécessaire.

C’est en vous libérant de vos freins personnels et en soignant vos blessures de l’âme que vous pourrez vous focaliser sur ce que vous voulez.

Avant de semer, il faut désherber.

Pour pouvoir planter de nouvelles graines ou améliorer la production, nous cherchons d’abord à éliminer les plantes sauvages ou mauvaises herbes. Si vous avez déjà jeté des graines de légumes à la volée dans une prairie, vous savez que cela ne donne rien et que pour pouvoir nous nourrir, nous sommes forcés de détruire la végétation spontanée qui rentre en concurrence avec les cultures.

Il est alors tentant de choisir la facilité et d’asperger son champ d’herbicides chimiques. Si le résultat peut être efficace sur le moment, l’expérience de la culture intensive, nous a appris que cela porte atteinte à l’environnement. Les désherbants ont des impacts non négligeables sur l’écosystème et peuvent porter atteinte à la fertilité du sol.

Il en est de même lorsque nous sommes dans une énergie négative et que nous tentons de la combattre. Lorsque, vous êtes envahi par la peur, l’angoisse, la tristesse, le dégoût ou la culpabilité, c’est probablement qu’une mémoire traumatique de l’enfance est réactivée. L’adulte que vous êtes devenu va souvent essayer d’éliminer cette souffrance avec des conséquences à l’opposé du résultat escompté.

Il n’y a pas de mauvaises herbes. Il n’y a que des herbes qui ne poussent pas à la bonne place ou dont nous n’avons pas encore connaissance de leur  utilité !

Les « mauvaises herbes » dont on veut se débarrasser sont en fait des indicatrices de l’évolution du sol et permettent de prévoir des dysfonctionnements avant qu’ils ne se manifestent et qu’il soit trop tard pour les réparer. Une plante ne pousse pas par hasard ; lorsque vous la rencontrez dans votre jardin, elle a un rôle à jouer dans cet endroit-là, à ce moment-là.

GÉRARD DUCERF – L’ENCYCLOPÉDIE DES PLANTES BIO-INDICATRICES.

Lorsque tout va bien dans votre vie d’adulte, que votre potager est prospère, vous êtes calme, détendu et serein. Vous êtes pleinement dans une énergie créatrice. Votre moi adulte, qui dépend de l’activité du cortex préfrontal, vous permet de réfléchir, anticiper et prendre du recul. Vous êtes courageux et vous savez calmer vos émotions. Vous pouvez ressentir de la compassion.

Seulement, sous la terre sommeillent des racines douloureuses prêtes à envahir votre jardin. En effet, les traumatismes que vous vivez dans votre enfance sont stockés dans des capsules temporelles nommée « partie émotionnelle ». Ces mémoires se composent de croyances et de pensées mais aussi de sons, sensations, odeurs, images.

Un événement déclencheur va se produire agissant comme un fertilisant sur cette partie émotionnelle et va la réactiver. Elle va alors complètement vous envahir. Ce n’est plus alors le moi adulte qui s’exprime mais la partie émotionnelle. Tout le contenu de cette capsule va alors s’étendre laissant la place à la souffrance. Le moi adulte ne pourra plus réguler ses émotions car il sera submergé par la peur, la tristesse ou l’angoisse. Le cortex préfrontal s’éteint et ne peut plus calmer le cerveau limbique. D’autres moyens sont donc utilisés pour parvenir à apaiser la souffrance.

Se mettent alors en action des parties protectrices qui ont pour mission d’éradiquer cette souffrance quelles qu’en soient les conséquences. Ces sauveurs vous ont été utiles dans votre enfance, c’est grâce à eux que vous avez survécu aux situations douloureuses. Qui sont-ils ? Face à un danger, nous utilisons quatre stratégies primitives datant du temps où nous chassions le mammouth. Et comment réagir face à un mammouth ?

1 Tout d’abord, essayer d’obtenir de l’aide en appelant, pleurant, criant ou en cherchant un sauveur rassurant de qui dépendre.

2 Sans aide, il va falloir tuer le mammouth. L’autre devient le danger et méfiant nous allons chercher à le contrôler et le combattre avec agressivité et colère. Certaines fois, cette violence peut être tournée contre nous-même.

3 Lorsque le mammouth est trop agressif. Il faut prendre ses jambes à son cou. Il est plus prudent de fuir. La fuite peut s’exprimer dans les dépendances avec l’usage d’alcool, drogues, troubles alimentaires, médicaments. Elle se traduit aussi par une incapacité à s’engager et une prise de distance.

4 En dernier recours, il ne reste qu’à faire le mort, cette ultime défense qui nous vient des reptiles. En sortant de son corps, nous nous dissocions, de cette manière le corps est là mais l’esprit est ailleurs.

Appeler à l’aide, combattre, fuir ou faire le mort, sont des stratégies radicales pour éradiquer la souffrance de la partie émotionnelle. Cela revient à justement asperger notre champ de désherbant même si cela doit détruire tout notre écosystème.

Ces actions inadaptées et contre-productives sont bien loin de l’énergie positive souhaitée.

Comment faire alors ? Tout d’abord, comprendre que cette capsule ne vous représente pas. Dissociez-vous de cette partie émotionnelle pour l’observer et prendre de la distance. Vous pouvez ainsi à nouveau laisser le moi adulte s’exprimer et analyser la situation. Vous n’aurez plus besoin de vos parties protectrices. 

Ensuite, rappelez-vous qui vos sauveurs avaient pour mission de protéger ;  l’enfant à l’intérieur de vous bloqué dans sa capsule temporelle. Durant longtemps, en voulant éliminer la souffrance, vous avez rejeté cet enfant, ce qui ne faisait qu’empirer son mal-être. 

Aujourd’hui, qui mieux que vous peut prendre soin de cet enfant ? Qui sera toujours là ? Qui sait ce dont il a besoin pour se sentir aimé, choyé et en sécurité ? Vous êtes la meilleure personne pour veiller sur lui, l’apaiser et le réconforter.

Votre champ ne sera alors plus envahi et vous pourrez cultiver une pensée créatrice et récolter les fruits de votre labeur.

Que faire de ces « mauvaises herbes »

Rappelez-vous que ces mauvaises herbes étaient là pour vous indiquer un dysfonctionnement et qu’elles ont leur utilité. Les événements du passé vous ont aussi permis de faire des apprentissages et de développer des ressources. Utilisez-les à bon escient et dans le bon contexte. Ces pousses vous apportent de la diversité et vous seront profitables dans un autre environnement.

L’ortie, du fait notamment d’être urticante est souvent vouée à un arrachage systématique, or elle regorge de trésors cachés. Si vous savez l’utiliser, vous en ferez un allier pour vos cultures. C’est un excellent répulsif pour les insectes parasites et un engrais de choix. Ses propriétés médicinales et gustatives sont reconnues. La flore spontanée, elle, va faire le régal des oiseaux. Les fleurs attireront papillons et abeilles qui butineront et polliniseront vos arbres fruitiers. Voilà bien de bonnes raisons de laisser une place à ces herbes porteuses de vie !

Vous pensez qu’un comportement ou trait de caractère vous dessert. Pourtant dans certains contextes, ils vous sont d’une grande utilité. Vous êtes souvent dans la lune, c’est génial vous apprendrez vite l’autohypnose. 

Pareil pour des événements du passé douloureux, ils vous ont non seulement permis de développer de nouvelles compétences, comme par exemple savoir vous défendre ou faire preuve d’empathie et ils vous ont également peut-être permis de faire de nouvelles rencontres, de vous emmener sur un autre chemin.

Voir les ressources que vous possédez, celles que le destin vous apporte et les utiliser à bon escient, vous donne une vision plus optimiste de la vie. Et qui dit vision optimiste dit énergie positive et donc pensée créatrice.

On récolte ce que l’on sème encore faut-il semer (et s’aimer)

Pour réaliser un projet, il faut d’abord le rêver. La pensée créatrice passe par la visualisation. Une action est toujours précédée d’une pensée ou d’une idée. « Je vais semer des graines » précède le moment où vous les plantez. Le simple fait d’avoir une idée à l’esprit mobilise l’énergie qui va l’attirer et la créer.

La pensée crée la forme et l’image, la visualisation est donc sa mise en pratique. N’importe quel architecte vous dira avoir vu son édifice avant de réaliser les plans. L’imagination du résultat désiré permet de créer en soi et autour de soi les conditions favorables à son accomplissement.

Comme pour toutes les connaissances, l’important ce n’est pas de savoir mais de réaliser et de passer à l’action. Ce n’est pas en lisant tout sur le sujet que vous aurez des résultats mais en pratiquant. 

Le processus de création pour obtenir ce que l’on désire s’articule sur 3 axes : Demander- Croire- Recevoir

1 Demander : Il est primordial de cibler son désir de manière formelle et précise !

Les personnes qui ont suivi l’atelier « Passons du rêve au projet: fixons une date » pourront utiliser leurs compétences pour définir clairement leurs objectifs, pour les autres vous trouverez l’article correspondant sur la page Facebook. Vous verrez que les mêmes règles s’appliquent.

  • Exprimez clairement ce que vous voulez (et non ce que vous ne voulez pas ou plus)
  • Utilisez une formulation positive (pas de négation)
  • Affirmez le résultat au présent et à l’affirmatif (je suis…)

2 Croire et charger : Ayez la foi dans le fait que votre voeu va être exaucé et chargez-vous émotionnellement en ressentant le bien-être de leur réalisation par avance !

  • Vibrez positivement vos émotions. Chargez-les de pensées alignées avec votre objectif.
  • Projetez-vous mentalement en utilisant tous vos sens.
  • Soyez patient et lâchez prise. Vous n’allez pas déterrer la graine que vous venez de planter pour voir si elle pousse ? Si vous pensez au fait que vous n’avez rien reçu, vous émettrez une vibration négative.

3Recevoir : Soyez disponible et à l’écoute des réponses et agissez !

  • Soyez attentif aux signes, synchronicité qui apparaissent.
  • Et surtout saisissez ce qui se présente d’utile et nécessaire pour y parvenir. Passez à l’action.
  • Travailler votre alignement et vos croyances. Chaque fois que vous n’obtenez pas le résultat escompté, c’est une invitation à mieux vous connaître. Vous voulez que votre récolte vous rapporte un bon revenu mais vous pensez que l’argent ne fait pas le bonheur ? Il est essentiel d’être en résonance avec soi et de conscientiser ce que nous émettons, ici et maintenant.

Vous êtes maintenant prêt à mettre cette nouvelle réalité en perspective. Ce sujet vous a parlé ? Pourquoi pas le (re)vivre concrètement en auto-hypnose ? Utiliser la métaphore du jardin intérieur. Découvrez votre champ, nettoyer les éventuelles branches ou déchets qui l’encombrent, observez les mauvaises herbes et découvrez quel dysfonctionnement elles vous enseignent. Fertilisez votre terre, diversifier votre environnement et prenez soin de votre écosystème. Vous pourrez ensuite semer les graines de votre nouvelle réalité, les voir pousser, ressentir le soleil et l’eau qui les nourrit pour enfin pouvoir récolter avec abondance.

Ce sujet a été exploré lors d’un atelier. Si vous souhaitez en expérimenter un autre, rendez-vous pour :

Doit-on avoir peur de nos monstres intérieurs ?
Date : 29 octobre 2020
Horaire : 19h30-21h30 suivi d’un moment de partage convivial
Tarifs : 30 frs par personne
Lieu : Perspective Hypnose, route de la Verreyre 2, 1088 Ropraz
Réservation obligatoire (places limitées) auprès de Mélanie Klein 076 528 86 66 ou melanie@perspective-hypnose.ch

Sources :

  • « Créateurs d’avant-garde » par ABRAHAM / Esher et Jerry Hicks
  • « Réaliser l’Union. Un processus de conscience. » de Chantal Attira
  • « Réaliser l’Union. Un processus de conscience. » de Chantal Attira
  • « Dépasser la dissociation d’origine traumatique: Soi fragmenté et aliénation interne » de Janina Fisher traduit par Julien Baillet 

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